Si une vache produit davantage de lait en fonction de son potentiel génétique (et de son stade de lactation), c'est qu'elle bénéficie d'une plus forte sécrétion de somatotropine hypophy-saire induisant par l'intermédiaire de somatomédines hépatiques une plus grande activité mammaire.
Aujourd'hui, les techniques modernes de génie génétique permettent de disposer de somatotropine exogène, totalement identique à la source endogène.
Demain, une stimulation comparable de la production laitière serail également susceptible d'être obtenue par blocage immunologique de la soma tostatine ou par injection de somatoli bérine (GRF), voire plus tard de somatomédines (voir figure 4).
Aujourd'hui refusées dans la CEE pour des raisons sociales et politiques, ces techniques d'intervention directe sur le niveau somatotropi-nique ont le mérite de souligner les interrelalions entre le potentiel de production et l'alimentation.
Dans l'éventualité d'une autorisation, on pourrait en attendre une amélioration moyenne de production laitière de l'ordre de 4 à 5 kg/vache/j.
Généralement, une certaine supériorité apparaît chez des multipares par rap
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