Comme le foetus est prioritaire en fin de gestation, une sous-alimentation ne peut en limiter la croissance en vue d'abaisser les difficultés de vêlage. La suralimentation a plus directement des effets contraires. Une carence en zinc, éventuellement renforcée par une surcharge en favorise les parts languissants. La rétention placentaire est une affection typiquement multifac-
En ne considérant que ses implications elle est susceptible d'être induite par une suralimentation globale qui pourrait d'ailleurs entraîner des hypocalcémies et/ou des hypomagnésémies subcliniques par stéatose hépatique et une moindre activation de la vitamine D. Ainsi, elle aurait éventuellement des convergences étiologiques avec certains parts languissants et retards d'involution utérine (prédisposant aux métrites), avec des (par rétention lactée), surtout avec
En ne considérant que ses implications elle est susceptible d'être induite par une suralimentation globale qui pourrait d'ailleurs entraîner des hypocalcémies et/ou des hypomagnésémies subcliniques par stéatose hépatique et une moindre activation de la vitamine D. Ainsi, elle aurait éventuellement des convergences étiologiques avec certains parts languissants et retards d'involution utérine (prédisposant aux métrites), avec des (par rétention lactée), surtout avec
des vitulaires ou le syndrome de la vache couchée dont elle alors un signal Elle serait parfois en rapport avec une carence en iode (au besoin secondaire à la consommation de antithyroïdiens contenus les crucifères tels que les choux les tourteaux de colza ou de navette). Elle résulterait aussi bien de déficiences en zinc ou en vitamine A (vitamine des épilhéliums) et. surtout en vitamine E et en sélénium (voir figure 64 bis). Ce dernier jouerait alors le rôle peut-être en favorisant le travail musculaire. Cependant, l'association vitamine par son effet stimulant de l'immunité, comme la vitamine A et le zinc, contribue à prévenir les complications infectieuses de métrites, tout en assurant une augmentation de la résistance des veaux nouveau-nés aux myopathies nutritionnelles ("maladie du muscle blanc", myopathie-dyspnée") (voir figure 65).
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